Comment bien choisir son capitaine de foot amateur : erreurs à éviter et vrais critères du U6 aux seniors
⚽ Choisir ton capitaine : évite la douille, gros !
Oh frère, choisir ton capitaine, c’est pas donner les clés de la Clio au premier qui passe. Si tu te plantes, ton équipe, elle coule plus vite qu’un pastis sans eau. 😅
Que tu sois en U6 avec des minots qui savent à peine où est le but ou en Seniors du dimanche matin qui parlent déjà de la 3e mi-temps, le brassard c’est sacré. Ton capitaine, c’est ton relais, ton chef de bande, ton grand frère sur le terrain.
🚫 Les faux capitaines (à éviter comme la peste)
- Le grande gueule : celui qui insulte ses potes dès qu’ils ratent une passe. 👉 En U13, ça fait pleurer. En seniors, ça finit en embrouille au vestiaire. Un pompier qui balance de l’essence sur le feu, quoi.
- Le fantôme : il vient à un entraînement sur 3 mais se prend pour le général le dimanche. Oh poto, si t’as pas bossé la semaine, ferme-la le week-end.
- L’intouchable : il croit que brassard = immunité. Jamais remplacé, jamais critiqué. Résultat : les autres se disent “Pourquoi moi je fais les efforts ?” → équipe divisée.
- Le pistonné : fils du coach, du président ou du DS. Tout le monde le sait, personne n’y croit → vestiaire explosé en 3, 2, 1…
- Le détesté : si tes propres collègues prient pour qu’il perde le brassard, c’est que t’as déjà perdu ton équipe.
✅ Le vrai capitaine (celui qui fait kiffer l’équipe)
- Le frère de vestiaire : il encourage, il relève, il tape dans les mains. 👉 En U9, ça évite les larmes. En seniors, ça évite que ça parte en insulte sur l’arbitre.
- L’exemple : premier à l’entraînement, dernier à lâcher. 👉 Quand ton capitaine se donne à fond, t’as pas le choix, tu suis.
- Le traducteur du coach : il relaie les consignes, il replace, il motive. 👉 Pas besoin de hurler, juste guider. C’est la voix du coach sur le terrain.
- Le respect : pas parce qu’il fait peur, mais parce qu’il respecte tout le monde. 👉 Du minot au vétéran, tout le monde l’écoute.
- Le ciment : quand ça chauffe, il met de l’eau, pas de l’huile. 👉 Il garde le groupe soudé comme une bonne bouillabaisse, frère ! 🍲
🔥 Les punchlines à sortir dans le vestiaire
“Un capitaine qui insulte ses potes, c’est comme un pompier qui jette de l’essence sur le feu.”
“Un brassard donné au piston, c’est un vestiaire explosif en 3 semaines.”
“Oh gros, le brassard c’est pas une médaille, c’est une responsabilité.”
“Un vrai capitaine cherche pas la lumière, il éclaire ses collègues.”
📝 La checklist du coach avant de filer le brassard
Avant de donner ton brassard, demande-toi, mon frère :
- Est-ce que ce joueur respecte ses coéquipiers, ou il passe son temps à les descendre ?
- Est-ce qu’il est présent aux entraînements, ou c’est un fantôme du dimanche ?
- Est-ce que les autres le suivent naturellement, ou ils lèvent les yeux au ciel dès qu’il ouvre la bouche ?
- Est-ce qu’il donne l’exemple (efforts, attitude), ou il fait le touriste ?
- Est-ce que son brassard sera mérité, ou juste un cadeau parce que c’est le fils du Président?
Si tu coches pas au moins 4 cases, change de candidat, oh frère… sinon tu vas droit dans le mur. 😉
🏆 Conclusion
Ton capitaine, c’est ton bras droit, ton relais sur le terrain, ton grand frère du vestiaire. File pas le brassard au premier venu, sinon tu tires une balle dans ton propre pied.
Un bon capitaine, c’est déjà la moitié de la victoire. Et l’autre moitié, gros… c’est la bonne bière d’après-match ! 🍻